Si j’en arrive maintenant au terme de ces années de recherche et de rédaction, c’est grâce à vous tous, à qui je veux dire un grand merci.
À Benoît Habert, mon directeur de thèse, qui m’a dirigé tout en me laissant une grande autonomie, et dont les remarques toujours pertinentes et les questions m’ont poussé toujours plus loin dans ma réflexion et vers mon objectif.
À Frédérique Segond qui m’a ouvert les portes de la recherche en même temps que celles de Xerox, m’a poussé à entreprendre cette thèse et, en m’apprenant un métier, m’a aidé à ne pas renoncer.
À Claude Roux dont les connaissances et les compétences m’ont accompagné pas à pas tout au long de cette thèse. Sans lui, elle n’existerait pas.
Au professeur André Salem à qui échoit la charge de présider mon jury.
Aux professeurs Monique Slodzian et Henri Béjoint qui ont eu la grande gentillesse de mettre leur savoir au service de mon travail en acceptant d’en être les rapporteurs.
Au professeur Christiane Fellbaum pour sa gentillesse, la grande générosité dont elle a fait preuve à mon égard et aussi, malgré l’impossibilité dans laquelle elle était de prendre part à mon jury, pour avoir accepté de parcourir ma thèse et de l’avoir enrichie de ses remarques et suggestions.
Aux professeurs Sylviane Granger et Guy Deville, qui m’ont initié à la linguistique computationnelle et, ce faisant, m’ont fait découvrir tout un monde que je ne connaissais pas.
À Jean-Luc Manguin, du CRISCO à Caen, qui m’a fourni aimablement les sources du Dictionnaire des synonymes de la langue française de René Bailly.
Aux différentes personnes qui ont consacré du temps et de l’énergie à relire les épreuves successives de mon manuscrit : Marie-Hélène Corréard, Veronika Lux, Caroline Brun, Karen Fort, Nuria Gala-Barbaste, Salah Aït-Mokhtar.
Aux autres membres des équipes auxquelles j’ai appartenu au sein de XRCE, qui m’ont bien souvent éclairé de leur savoir, et plus particulièrement Anne Schiller, Caroline Hagège, Ken Beesley, Éric Gaussier, François Trouilleux, Nicola Cancedda, Aaron Kaplan, Hervé Déjean.
À mes utilisateurs « spécialistes », cités, et « naïfs », Damián Arregui, Franck Guingne, Florent Nicart et Frédéric Roussey, qui ont rendu mon évaluation possible.
À mes prédécesseurs en thèse à Xerox, pour toutes ces conversations enrichissantes, ou pas : Laurent Griot, Mathieu Mangeot, Julien Quint, Sylvain Pogodalla.
À tous mes collègues, qui sont aussi devenu des amis au cours de ces années, et particulièrement Denys (qui tient au « y »), Nicolas (et Christel), Pico, Nate, Manfred bien sûr, Christine (et Michaël), Séverine et tant d’autres.
À Jean-Pierre Chanod, dans l’équipe de qui j’ai été versé lorsque Frédérique a été appelée à d’autres responsabilités.
À ma famille dont le soutien est indéfectible.
À vous tous donc, j’exprime ici ma gratitude la plus profonde.